Pénal (C.S. Can.): La juge du procès était consciente des dangers énoncés dans Vetrovec c. R. (C.S. Can., 1982-05-31), SOQUIJ AZ-82111054, J.E. 82-563, [1982] 1 R.C.S. 811, et elle a appliqué l’examen rigoureux requis à l’égard de la preuve de reconnaissance; elle était autorisée à accepter sans corroboration cette preuve, car elle était convaincue de sa véracité, et ses conclusions factuelles sur la crédibilité et la fiabilité commandent la déférence.